Le déploiement de logiciels scientifiques en calcul intensif (HPC) est trop souvent synonyme de souffrance : piles logicielles complexes, autonomie et flexibilité limitées en tant qu’utilisateurice des moyens de calcul, et un travail à refaire sur chaque cluster. Peut-on aller au-delà des modules ?
Cet exposé revient sur le point de départ de Guix en HPC : donner plus d’autonomie aux utilisateurices des moyens de calcul et permettre la mise en commun de nos expertises métier. Nous discuterons de l’articulation avec les enjeux de « science ouverte » et de reproductibilité et des risques associés — quid de la performance ? Depuis 2017, Guix-HPC suit ce chemin singulier dans le paysage de la recherche avec des avancées notamment techniques qui portent leurs fruits.